05 May 2017

Satire, a necessary look

By compelling us to keep uncovering the hidden face of our human societies, journalism forces us to nurture a degree of cynicism and despair. Some become bitter debaters, others wise editorialists, concerned with moral elegance. Then we have the satirical media, who use laughter as a weapon against the unspeakable. This session is going to explore the satirical media. Starting with the caricatural gaze of satire, which reveals its author’s capacity for indignation and pessimism in response to events and people. Explaining one’s choice for laughter rather than despair.

 

About Ibou Fall

Ibrahima Fall, de son nom de plume Ibou Fall, 54 ans, est journaliste, écrivain et éditeur. Après des tentatives dans la création et l’édition de bandes dessinées, avec comme seul diplôme le bac lettres classiques (latin-grec) il débute dans la presse en 1989 comme correcteur du bi-hebdomadaire « Sopi » dont il devient un des billettistes « Le Billet de Ibou ». Il apprend sur le tard le journalisme et fonde avec cinq autres journalistes limogés de « Sopi » l’hebdomadaire « Le Témoin » en 1990. Reporter, puis chef d’édition, il publie le recueil de ses premières « Sénégalaiseries » en 1993. Fondateur des quotidiens « Tract » (2000) et Frasques (2001) il publie par la suite quatre autres recueils de « Sénégalaiseries » : « Dieu le pire » (2009), Banc Diakhlé (2010), « Les Egocrates » (2012) et « NTS, les Nouveaux Types de Sénégalaiseries » (2013).

Il est, enfin, l’un des fondateurs du « trentomadaire » « Le P’tit Railleur Sénégalais » dont il est le directeur de publication.

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