Ghassan Salhab

Né à Dakar, Ghassan Salhab vit et travaille aujourd’hui à Beyrouth. En dehors de ses propres réalisations, il collabore à l’écriture de scénarios et enseigne dans différentes universités au Liban. Il a réalisé huit longs métrages : Beyrouth fantôme (1998) ; Terra Incognita (2002) ; Le dernier homme (2006) ; 1958 (2009) ; La Montagne (2011), La Vallée (2014), Une rose ouverte / Warda (2019) et La rivière (2021) — ainsi que plusieurs « essais », dont Le voyage immobile (2018) coréalisé avec Mohamed Soueid, L’encre de Chine (2016), Son image (diptyque-vidéo, 2016), Everybody know this is nowhere (diptyque-vidéo, 2012), Le massacre des innocents (triptyque-vidéo, 2010), (Posthume) (2007), Narcisse perdu (2004), Mon corps mort, mon corps vivant (2003), La rose de personne (2000)… tous sélectionnés dans différents festivals ou expositions internationaux. En 2016, il a été « invité-résident » au DAAD (Berlin) et en 2020 à la Fondation Camargo. Le Festival International de La Rochelle, les JCC de Tunis, la Cinémathèque du Québec et le Festival International de Cine Guanajuato, lui ont consacré une rétrospective. Auteur par ailleurs de deux ouvrages : « fragments du Livre du naufrage » (2012, Amers Editions) et « à contre-jour (depuis Beyrouth) » (2021, de l’incidence éditeur), ainsi que différents textes publiés dans des revues spécialisées.

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